Capacité : 90 places (réservées aux abonnés TER BreizhGo)
Date de mise en service : 28 janvier 2019
Nombre d'habilitations uniques (entre 2022 et 2024) : 199
Taux d'occupation journalier moyen : 44,7% (40,2) en jours calendaires / 61,72% (55,6) en jours ouvrés
Nombre de jours ou le parking est utilisé : 343 (2022) / 341 (2023) / 361 (2024)
En 2014, le site aujourd’hui occupé par le parking réservé aux abonnés TER BreizhGo était encore un ancien espace ferroviaire en transition. On y distingue nettement la présence de voies ferrées, vestiges d’un usage antérieur lié à la logistique ferroviaire.
Le site est en plein travaux de requalification dans le cadre du projet de PEM. Le parking semble déjà utilisé (par les usagers de la gare ou les ouvriers du PEM ?), et la voie de desserte est visible, préfigurant le futur accès au parking.
En 2020, le parking est pleinement en service. L'ensemble des travaux du nouveau PEM sont alors terminés, et le parking s'est doté de barrières depuis le 28 janvier 2019 pour restreindre l'accès aux seuls abonnés TER inscrits au service.
Pas de changement notable depuis 2020, si ce n'est l'apparition d'une nouvelle zone stabilisée au Nord du parking, qui préfigure peut-être d'un agrandissement futur ?
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Entre janvier 2022 et décembre 2024, 204 personnes ont été habilitées sur le parking de la gare de Morlaix, dont 51 en 2022, 42 en 2023 et 111 en 2024. Pour 130 d'entres elles, la date de fin de validité est en 2025.
Le graphique mensuel montre une fréquentation soutenue et régulière du parking, autour de 150 à 200 usagers uniques par mois. Les pics mensuels les plus élevés sont atteints en mars 2022, novembre 2023 et novembre 2024, avec plus de 190 usagers. Quelques baisses saisonnières apparaissent, notamment à l’été 2022 et à l’été 2024, correspondant probablement à une baisse du nombre de navetteurs pendant les vacances.
On observe une forte densité d’utilisation quotidienne, avec de nombreux jours où la fréquentation dépasse les 70 véhicules. Le seuil des 40 usagers quotidiens est très souvent franchi, témoignant d’un usage intensif du parking.
Le remplissage reste élevé tout au long de la période, sans baisse notable ni rupture marquée, y compris durant les mois d’hiver, si ce n'est durant les périodes estivales. Cela traduit une forte régularité des usages.
La répartition des validations montre une utilisation presque exclusivement en semaine, avec un pic les mardi, jeudi et vendredi. Le lundi et le mercredi restent également bien fréquentés.
À l’inverse, le week-end affiche une fréquentation très faible, presque marginale.
Cette dynamique traduit un usage clairement pendulaire domicile-travail ou domicile-études, sans usage notable à visée loisir ou occasionnelle.
Le graphique horaire illustre clairement un pic massif de validations entre 6h et 8h du matin, et plus particulièrement à 7h, cohérent avec un usage domicile-travail.
L’occupation moyenne du parking sur l’ensemble de la période est de 40,2 véhicules par jour, soit 44,7 % de taux d’occupation. Si l’on se concentre sur les jours ouvrés, la moyenne grimpe à 55,6 véhicules, soit 61,7 % d’occupation.
Cette différence montre le rôle structurant du stationnement en semaine pour les déplacements pendulaires.
On observe une stabilité de la fréquentation dans le temps : la médiane annuelle se maintient autour de 45 à 49 véhicules par jour.
Le nombre de jours à forte occupation est significatif, avec 696 jours à plus de 25 %, 549 jours à plus de 50 % et 214 jours à plus de 75 %, sur un total de 1095 jours (3 années). Le pic maximal atteint est de 89 véhicules, soit 98,89 % du remplissage, ce qui montre que la saturation est parfois frôlée.
L’écart-type relativement élevé (28) indique une fréquentation très variable selon les jours
L’analyse des données de validation sur la période allant de janvier 2022 à décembre 2024 semble présupposer plusieurs points structurants sur les usages du parking :
Une forte variabilité quotidienne, avec des pics de fréquentation en semaine et des creux marqués en fin de semaine. Cette dynamique est typique d’un usage domicile-travail ou domicile-études, lié aux déplacements pendulaires.
Un niveau de fréquentation globalement élevé, avec des pics réguliers de 70 à 90 utilisateurs uniques, soit une occupation quasi maximale du parking (90 places), indiquant une tension ponctuelle sur la capacité, mais une moyenne d'usage autour de 40 à 45 utilisateurs uniques par jour, signifiant que le parking est largement utilisé, mais ne présente pas de saturation en continu. On notera par ailleurs aucune journée à 90 utilisateurs uniques sur la période, 2 journées à 89 utilisateurs uniques, 1 journées à 88, 1 journée à 87 et 2 journées à 86.
Des creux récurrents durant les vacances scolaires, particulièrement visibles en été, à Noël et autour des vacances de printemps, et une reprise rapide de la fréquentation après chaque période de vacances, notamment en septembre.
Une stabilité sur les trois années observées, avec une ligne de tendance dont la légère ascendance est insignifiante (+0,03 usagers par an), témoignant d'un usage régulier et stabilisé.
À court terme, aucune saturation permanente n’est observée, mais la forte intensité d’usage invite à surveiller l’évolution de la demande.
Nombre de répondants ayant indiqué Saint-Brieuc comme leur parking habituel : 29 personnes, soit 41 % de l’ensemble des réponses à cette question.
Taux de réponse rapporté à la capacité du parking : 32 %
→ Cela signifie que près d’un tiers de la capacité totale du parking a été couverte par les répondants, ce qui traduit une bonne représentativité des réponses au regard du nombre total de places disponibles.
Taux de réponse rapporté au nombre d’usagers habilités (204 habilitations recensées sur la période) : 14,2 %
→ Environ un usager sur sept disposant d’un accès au parking a pris le temps de répondre à l’enquête. Ce taux, sans être massif, reste significatif dans le cadre d’une enquête en ligne, et peut être considéré comme une base solide pour tirer des tendances.
Sur les 29 personnes ayant déclaré utiliser le parking de Saint-Brieuc, 21 l’utilisent tous les jours ouvrés, 7 plusieurs fois par semaine, et 1 seule personne de manière occasionnelle. Aucune réponse ne mentionne une utilisation hebdomadaire.
Ainsi, 96,5 % des répondants fréquentent le parking de manière régulière, dont 72,4 % de façon quotidienne. Ce profil d’usage confirme une forte dépendance à ce point d’intermodalité dans le cadre de déplacements pendulaires, typiques des abonnés TER domicile-travail ou domicile-études.
Le très faible nombre d’usagers occasionnels confirme que le site n’est pas utilisé de manière marginale ou opportuniste, mais bien dans une logique stable, planifiée et quotidienne.
Sur les 29 répondants, 24 déclarent stationner leur véhicule entre 6 et 12 heures, soit 83 % des usagers. Les 5 autres mentionnent une durée comprise entre 12 et 24 heures (17 %). Aucun usager n’indique un stationnement de moins de 6 heures ni sur plusieurs jours consécutifs.
Ce profil d’usage confirme une forte cohérence avec les horaires de travail ou d’études, avec des véhicules immobilisés sur la quasi-totalité de la journée, puis libérés en soirée. L’absence de stationnement court ou de longue durée (plusieurs jours) suggère un usage très normé et régulier.
Parmi les 29 usagers ayant répondu, 24 déclarent utiliser ce parking depuis plus d’un an, soit 83 % des répondants. Quatre autres l’utilisent depuis 6 mois à 1 an, et un seul depuis 1 à 6 mois. Aucun n’a commencé à l’utiliser récemment (moins d’un mois).
Ces chiffres confirment un profil d’usagers très fidèle, avec une ancienneté d’usage marquée. Le parking de Saint-Brieuc est donc un équipement fortement intégré dans les pratiques de déplacement régulières, avec très peu de renouvellement ou de nouveaux arrivants. Cette stabilité traduit une bonne connaissance du fonctionnement du parking, mais peut aussi interroger sur sa capacité à accueillir de nouveaux usagers en cas d’évolution de la demande.
Les horaires déclarés montrent une très forte concentration des arrivées entre 6h00 et 8h00 :
93 % des répondants (27 sur 29) arrivent avant 8h30, dont :
6 arrivées entre 5h30 et 6h00
6 entre 6h00 et 6h30
9 entre 6h30 et 7h30
6 entre 7h30 et 8h30
Les arrivées après 8h30 sont extrêmement rares (2 cas seulement) :
1 personne indique une arrivée à 8h30
1 personne à 16h44, ce qui semble lié à un usage en soirée, pour des horaires de travail atypiques.
Cela traduit un usage quasi-exclusif par des usagers du premier train du matin ou de trains en heure de pointe.
Parmi les répondants :
62 % (18 personnes) indiquent trouver toujours une place.
34 % (10 personnes) y parviennent la plupart du temps.
Une seule personne déclare ne trouver qu’exceptionnellement une place.
Aucun répondant n’a coché "jamais".
Ces résultats révèlent une situation globalement satisfaisante en matière de disponibilité, avec 96 % des usagers affirmant trouver une place régulièrement voire systématiquement. Cela suggère que le parking n’est pas perçu comme saturé par la majorité des usagers au moment de leur arrivée, en cohérence avec une occupation matinale bien répartie.
Parmi les usagers interrogés :
22 personnes (76 %) déclarent ne jamais avoir renoncé à stationner faute de place.
7 personnes (24 %) indiquent que cela leur est déjà arrivé.
Ces résultats confirment qu’une majorité d’usagers ne rencontre pas de situation bloquante, mais soulignent tout de même l’existence d’une problématique ponctuelle pour un quart des répondants. Ce taux, non négligeable, montre que la saturation peut exister à certains moments (probablement en début de matinée), sans pour autant représenter un phénomène généralisé.
Parmi les usagers interrogés :
24 personnes (83 %) déclarent venir seules dans leur voiture.
4 personnes (14 %) pratiquent le covoiturage en tant que conducteurs.
1 seule personne déclare venir en tant que passager.
Ces données révèlent une prédominance très nette de la voiture individuelle dans les pratiques d’accès au parking. Le covoiturage reste marginal, bien qu’il ne soit pas inexistant, ce qui témoigne d’une culture majoritairement centrée sur l’autosolisme.
Les données montrent que :
10 personnes viennent de Saint-Brieuc même, soit environ 34 % des répondants.
Les autres 19 personnes viennent de communes périphériques, situées majoritairement dans un rayon de 10 à 20 km autour de la gare.
Parmi les communes les plus représentées :
Ploufragan (3 répondants),
Plérin, Pledran, Pordic (2 chacun),
Puis une diversité de communes : Yffiniac, Plaine-Haute, Plaintel, Le Vieux Bourg, Saint-Brandan, Hillion, Plouha, Pléguien, Plerneuf, Quitin…
Le parking de Saint-Brieuc attire à la fois des usagers intra-urbains et périurbains. Sa zone de chalandise s’étend clairement aux communes voisines mal desservies par les transports en commun, ce qui en fait un point d’entrée clé dans la chaîne intermodale pour les habitants du secteur.
Parmi les usagers interrogés :
27 personnes (93 %) déclarent utiliser le train pour des motifs professionnels.
2 personnes (7 %) indiquent le faire pour les études.
Aucun répondant ne mentionne un usage lié aux loisirs.
Le profil des usagers du parking de Saint-Brieuc est très largement orienté vers des déplacements domicile-travail, avec un ancrage fort dans la sphère professionnelle.
Sur les 29 personnes interrogées, 23 répondants (79%) déclarent avoir pour destination Rennes.
Les autres destinations mentionnées sont :
Lamballe : 2 répondants
Dinan, Caulnes, Lannion, Morlaix : 1 répondant chacun
La destination Rennes domine très largement les usages, avec près de 8 usagers sur 10 effectuant quotidiennement un trajet Saint-Brieuc ↔ Rennes.
Les retours des usagers sur la qualité du parking de Saint-Brieuc sont globalement positifs, avec un ressenti particulièrement favorable concernant la facilité d’inscription au service. Cette étape est jugée simple et fluide, comme en témoignent les nombreuses notes de 4 et 5 attribuées. L’enregistrement dans le dispositif KorriGo ne semble donc pas constituer un frein à l’usage du parking.
L’état général du site, en termes d’entretien et de propreté, obtient également des évaluations majoritairement bonnes. Toutefois, quelques avis plus modérés, notés 2 ou 3, laissent entendre que certains usagers perçoivent des lacunes ponctuelles, notamment en matière de propreté, de gestion des déchets ou d’aspects esthétiques du site.
La sécurité du parking, quant à elle, est l’aspect qui suscite les jugements les plus partagés. Bien que les notes élevées restent présentes, les évaluations de niveau intermédiaire, voire plus critiques, sont plus nombreuses que pour les deux autres critères. Cela peut traduire un sentiment de vulnérabilité ou un manque de dispositifs visibles de sécurisation, qu’il s’agisse de surveillance, d’éclairage, de clôture ou de présence humaine.
Quelques remarques faites par les usagers :
« Refaire l'enrobé, matérialiser les places, fermer l'accès par un grillage. »
« Peut être effectuer un marquage des places pour que personne ne se retrouve bloqué sur la seconde partie du parking, je pense non prévue au départ à cet effet. »
« Les bandes blanches qui matérialisent les places sont effacées. Ce qui fait perdre des emplacements. »
« Il y a des nids de poules sur l’enrobé [...] L’accès n’est pas assez sécurisé car des personnes montent sur le bas-côté pour accéder au parking sans autorisation. »
Parmi les usagers interrogés, 21 répondants (soit 72 %) déclarent ne pas avoir rencontré de problème avec le système de barrières. En revanche, 8 personnes (28 %) indiquent avoir déjà rencontré des difficultés.
1. Pannes fréquentes ou longues durées d’indisponibilité :
De très nombreux usagers évoquent des périodes où la barrière est restée en panne plusieurs jours, voire plusieurs semaines, y compris en hiver. Certaines barrières ont été signalées comme KO, hors service, ou ouvertes en continu, sans surveillance.
« Barrière KO pendant presque 1 mois »,
« Barrière d’entrée HS pendant une longue période »,
« Elle restait ouverte »,
2. Problèmes liés aux conditions climatiques (notamment en hiver) :
Plusieurs témoignages signalent des dysfonctionnements récurrents par temps froid, notamment à cause de barrières gelées ou bloquées lors de gelées matinales.
« Barrière bloquée lors de fortes gelées »,
« L’hiver, la barrière ne s’ouvrait pas pendant plusieurs semaines ».
3. Accès forcé ou dégradations extérieures :
Un répondant signale des dégradations par des personnes extérieures, forçant l’ouverture manuelle de la barrière, ce qui pourrait à la fois endommager le système et poser un problème de sécurité et de filtrage.
« Dysfonctionnement suite à des dégradations de personnes sans cartes qui lèvent en forçant la barrière ».
4. Difficultés liées aux cartes KorriGo :
Des utilisateurs évoquent des soucis techniques ou de communication avec la carte KorriGo : absence de renouvellement automatique, carte bloquée au bout d’un an, mauvaise détection ou contact difficile avec le lecteur.
« Carte bloquée au bout d’un an »,
« Le lecteur de carte KorriGo est parfois capricieux »,
« Renouvellement annuel non communiqué par BreizhGo »,
« Barrière en panne plusieurs jours pour l’activation de la carte KorriGo ».
« Pas de contact carte ».
5. Absence d’alternative ou de solution rapide :
Unusager mentionne qu’en l’absence de solution, il fallait attendre qu’un autre usager soulève manuellement la barrière pour faire passer plusieurs véhicules — situation révélatrice d’un manque de support ou de redondance du dispositif.
« Il fallait attendre que quelqu’un arrive pour la soulever et faire passer plusieurs voitures. Nous n’avions pas d’autre solution. »
Les réponses font apparaître une satisfaction quasi-unanime :
26 répondants (90 %) jugent le parking très bien situé.
2 personnes le trouvent correctement situé.
Une seule personne estime qu’il est trop éloigné.
Aucun usager ne considère le site comme peu accessible.
La localisation du parking de Saint-Brieuc est plébiscitée par les usagers, qui y voient un atout majeur du service.
Parmi les 29 répondants, 11 déclarent avoir découvert le service directement sur place, et 11 autres par le bouche-à-oreille. Ces deux modalités, toutes deux non planifiées, représentent 76 % des réponses. Cela signifie que l’usage du parking se diffuse surtout par les usagers eux-mêmes, ou via une découverte fortuite, sans action active de la part des institutions.
Seules 6 personnes ont été informées via le site internet SNCF/TER, ce qui indique un rôle secondaire du numérique dans la promotion du service. La signalétique physique en gare est totalement inefficace selon les données recueillies : aucun répondant ne mentionne avoir été informé par un affichage, et un seul évoque un échange avec un agent SNCF.
Le profil des personnes ayant répondu dessine une population très homogène sur le plan de l’activité et majoritairement adulte actif.
Sur les 29 répondants, 28 sont des actifs ayant un emploi, soit 97 % de l’échantillon. Une seule personne déclare être inactive (chômage ou retraite), et aucun répondant ne se déclare étudiant ou en formation.
Du point de vue de l’âge, la majorité des répondants appartient à la tranche 40-59 ans (18 personnes, soit 62 %), suivie des 26-39 ans (8 personnes). Trois répondants ont plus de 60 ans. Il n’y a aucun répondant de moins de 25 ans. Cela montre que le service est utilisé en très grande majorité par une population en âge d’être en emploi, installée dans des habitudes durables de mobilité.
Concernant le genre, la répartition est relativement équilibrée : 16 femmes (55 %) et 13 hommes (45 %). Cela confirme que l’usage du parking n’est pas genré de manière marquée.
Les remarques expriment un attachement massif au parking de Saint-Brieuc, perçu comme un équipement essentiel à la vie quotidienne de nombreux usagers. Plus qu’un simple espace de stationnement, il est décrit comme une condition indispensable pour continuer à vivre à Saint-Brieuc tout en travaillant ailleurs.
Cette importance est fortement mise en avant : les mots « indispensable », « doit demeurer », « très important » ou « merci de le maintenir » reviennent de manière récurrente. Les usagers insistent sur le fait que ce parking leur permet de prendre leur train sereinement, malgré des horaires irréguliers, des contraintes professionnelles ou l'impossibilité de covoiturer. Il constitue ainsi un point d’ancrage dans leur organisation de vie et de travail.
Plusieurs inquiétudes sont exprimées concernant un projet immobilier à proximité, perçu comme une menace directe pour la capacité actuelle du site, voire pour son existence même. Des usagers se disent angoissés à l’idée de voir le parking supprimé, craignant une détérioration de leurs conditions d’accès au TER et, par extension, de leur mobilité quotidienne.
Par ailleurs, des améliorations concrètes sont proposées :
Réfection de l’enrobé, suppression des nids-de-poule,
Rematérialisation des places pour éviter les pertes de capacité,
Sécurisation des accès par la pose d’un grillage ou d’un contrôle plus efficace,
Agrandissement du parking, évoqué comme une nécessité par plusieurs répondants,
Meilleure gestion des barrières, avec question sur la validité de la carte KorriGo et sa reconnaissance.
Enfin, certains commentaires reconnaissent que le service fonctionne bien dans l’ensemble, mais insistent pour qu’il reste tel qu’il est, gratuit et à cet emplacement précis, car il répond efficacement aux besoins actuels. Les réponses révèlent un consensus fort : ce parking ne doit ni disparaître ni être réduit, et devrait au contraire être consolidé et amélioré.